Un monde de possibilitĂ©s au bout des doigts 🔘 1/3

12 pratiques pour réussir sa vie !

Dans notre quĂȘte incessante de rĂ©ussite et d'excellence, il est facile de tomber dans le piĂšge de la comparaison perpĂ©tuelle, mesurant nos succĂšs Ă  l'aune de ceux des autres. Mais que se passerait-il si nous choisissions de rejeter ce cycle incessant, de ne plus nous comparer aux autres, et de chercher plutĂŽt Ă  nourrir notre propre crĂ©ativitĂ© et originalitĂ© ? Dans ce premier article d'une sĂ©rie passionnante de trois, intitulĂ© "12 PRATIQUES POUR RÉUSSIR VOTRE VIE. PROMIS !", nous explorons cette idĂ©e rĂ©volutionnaire Ă  travers le prisme de "The Art of Possibility" par Rosamund Stone Zander et Benjamin Zander. Ce guide, riche en enseignements, nous offre non seulement une nouvelle façon de percevoir notre potentiel, mais aussi des stratĂ©gies concrĂštes pour Ă©chapper Ă  la spirale de l'anxiĂ©tĂ© compĂ©titive. Joignez-vous Ă  nous pour redĂ©finir les contours de notre existence et dĂ©couvrir un chemin vers une vie enrichie de crĂ©ativitĂ©, loin de l'ombre Ă©crasante de la comparaison. Ensemble, redessinons le cadre de nos vies, en embrassant un nouveau paradigme oĂč chaque jour offre une toile vierge pour notre expression la plus authentique.

Photo Ian Achneide Un monde de possibilités au bout des doigts par Sylvie Gendreau

Photo Ian Achneide Un monde de possibilités au bout des doigts par Sylvie Gendreau

12 PRATIQUES POUR RÉUSSIR VOTRE VIE. PROMIS !

Chacun de nous, n'est-il pas Ă  la recherche de cette force crĂ©atrice, cette muse intĂ©rieure, qui nous permet d'offrir le meilleur de nous-mĂȘmes et de nos capacitĂ©s ?

Si les circonstances de la vie nous placent dans un milieu oĂč on est peu encouragĂ© Ă  rechercher ce qui est enfoui en nous et qui fera notre originalitĂ©, si nous sommes plutĂŽt forcĂ©s Ă  imiter les autres pour ĂȘtre aimĂ©s, acceptĂ©s et considĂ©rĂ©s selon les critĂšres d'un monde de mesure oĂč chacun est jaugĂ© et comparĂ© par rapport Ă  la rĂ©ussite des uns et des autres, ce chemin peut nous mener Ă  une vie misĂ©rable.

ET SI ON ARRÊTAIT DE SE COMPARER AUX AUTRES !

MalgrĂ© la rĂ©ussite, l'anxiĂ©tĂ© provoquĂ©e par un esprit compĂ©titif dans un monde de mesure mĂšne — mĂȘme ceux qui atteignent les sommets — Ă  un sentiment d'inquiĂ©tude oĂč les moments de bonheur se rarĂ©fient. Car, dans un monde de mesure, il y a toujours plus riche, plus puissant et plus talentueux que soi !

Pour sortir du cercle infernal, Rosamund Stone Zander (spécialiste en thérapie familiale) et Benjamin Zander (chef d'orchestre du Philarmonique de Boston) suggÚrent dans leur ouvrage, The Art of Possibility, douze pratiques écrites comme douze variations d'une longue phrase musicale. Les auteurs utilisent la musique comme principale métaphore et ça marche !

Bien que les pratiques Ă©noncĂ©es soient claires, elles ne sont pas faciles Ă  mettre en pratique au quotidien. Elles reprĂ©sentent, d'une part, un vĂ©ritable exercice d'imagination. Il faut apprendre Ă  redessiner un tout nouveau cadre de notre vie, dans les mĂȘmes circonstances.

REDESSINONS LE CADRE !

Une fois le cadre redessiné, nous entrons de plain-pied dans un nouveau paradigme qui permet de voir autrement et de découvrir des sentiers qu'on n'aurait jamais pu entrevoir auparavant.

Photo Nghia Le Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

Photo Nghia Le Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

LES 12 PRATIQUES DE L'ART DU POSSIBLE

Les 12 variations exigent une pratique assidue et une prĂ©sence d'esprit incomparable. On ne devient pas un grand musicien sans de nombreuses heures de pratique. Il en va de mĂȘme pour les douze pratiques de l'Art du possible.

Pour moi, ce livre est prĂ©cieux. La transformation de soi (et du monde) ne peut venir que par l'expression crĂ©atrice de chacun. Toutes les formes d'art sont  au cƓur de ce mouvement. Le livre prĂ©sente une vision (que je partage depuis longtemps) qui permet d'Ă©liminer les luttes entre dĂ©sirs individuels et collectifs, les luttes entre les hommes. Cela vous semble utopique ?

Il n'en est rien. Les auteurs le prouvent avec une multitude d'exemples. Tout est une question d'imagination et de pratique. PrĂȘts pour un petit stretch d'Ă©volution ?

Je commence avec les trois premiĂšres, chacune est suivie de petits exercices. Je poursuis dans la prochaine chronique pour les neuf manquantes.

PremiĂšre pratique — Tout est inventĂ©

C'est la plus importante. Toutes les autres variations en dĂ©coulent. Elle consiste Ă  comprendre comment notre cerveau fonctionne. Les neurosciences nous enseignent que notre cerveau construit le monde.

La limitation de nos sens ne nous permet pas de voir la rĂ©alitĂ©. Ce que nous voyons, ce qui rejoint notre conscience, est une cartographie de la vision du monde que notre cerveau construit Ă  l'aide de tous nos sens. MĂȘme si on s'imagine avoir des sens trĂšs dĂ©veloppĂ©s, plusieurs choses nous Ă©chappent. 

Photo Trevor Cole Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

Photo Trevor Cole Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

Les auteurs illustrent cela avec l'exemple de la grenouille qui ne peut voir ni les couleurs ni les formes. Elle peut voir clairement des lignes contrastĂ©es, des changements soudains d'Ă©clairage, des grandes lignes en mouvement, les courbes de petits objets foncĂ©s qui se dĂ©placent, mais elle ne verra jamais le visage de sa mĂšre ni un coucher de soleil. Elle n'en a pas besoin pour survivre. Les yeux humains voient Ă©videmment beaucoup plus de choses, mais ne voient pas, par exemple, les configurations que dessinent les abeilles en lumiĂšre ultraviolette au-dessus des fleurs. MĂȘme chose pour les sons. Les chiens ont une ouĂŻe beaucoup plus dĂ©veloppĂ©e que celle des humains.

Nous percevons seulement les choses pour lesquelles notre espÚce est programmée. On ne reconnaßt que ce qui apparaßt sur notre carte mentale développée avec nos propres sensations, stimulations et expériences selon les milieux naturels et culturels dans lesquels nous évoluons.

Le monde se manifeste donc Ă  notre conscience sous la forme d'une carte mentale prĂ©-dessinĂ©e, une histoire dĂ©jĂ  Ă©crite, une hypothĂšse de vie et une construction de nos accomplissements Ă  venir. Les rĂ©centes recherches sur le cerveau humain sont encourageantes. En constante Ă©volution, c'est un organe qui ne vieillit pas. Il se renouvelle constamment grĂące aux multiples connexions entre nos cellules. C'est un mouvement perpĂ©tuel entre cellules qui meurent et d'autres qui naissent. 

Plus nous nous lançons des dĂ©fis d'apprentissage, plus nous tentons de nouvelles expĂ©riences, plus nous sommes conscients de notre potentiel crĂ©atif, plus notre cerveau se dĂ©veloppe et construit de nouveaux mondes.

Une histoire incroyable

Pour illustrer notre capacitĂ© d'Ă©voluer et l'importance de nos milieux culturels, les auteurs racontent l'histoire d'une tribu d'Éthiopie, tenue Ă  l'Ă©cart du monde, Ă  qui on a prĂ©sentĂ© des photographies reprĂ©sentant des personnes et des animaux. Ce peuple Ă©tait incapable de voir des images en deux dimensions. Ils ont touchĂ© le papier, l'ont froissĂ©, l'ont mĂȘme goĂ»tĂ©. Notre cerveau et notre carte mentale Ă©voluent avec nos pratiques et nos inventions. 

Les grandes mutations

Dans un monde newtonien, les courbes de l'espace et du temps de la thĂ©orie de la relativitĂ© d'Einstein Ă©taient encore invisibles dans les cartographies mentales de l'Ă©poque. Einstein ne fait pas mentir Newton. Il rend simplement visible un nouveau paradigme. La thĂ©orie de Newton reste toujours exacte selon certains paramĂštres. Les auteurs constatent que souvent les thĂ©ories font, d'une certaine maniĂšre, Ă©voluer les pratiques en ouvrant un nouveau sentier 'possible' oĂč l'on ose s'aventurer.

L'histoire des grandes mutations comme Internet, par exemple, ou un changement de paradigme en science ou le dĂ©veloppement d'une nouvelle religion montre que c'est davantage par des pratiques continues que les choses se transforment plutĂŽt que suite Ă  de longues discussions.

À partir du moment, oĂč on prend conscience que tout est inventĂ©, cela ouvre de nouvelles perspectives. Le monde de mesure est un monde que nous avons inventĂ©. Il est donc possible d'en inventer un autre.


Deuxiùme pratique — Marcher dans l'univers des possibles

Pour illustrer cette pratique, les auteurs dĂ©crivent le monde de la mesure dans lequel nous vivons. Un monde oĂč les ressources se font de plus en plus rares. Un monde oĂč la peur du manque encourage certains Ă  accumuler des richesses plus que nĂ©cessaire. Un monde oĂč pour rĂ©ussir et survivre, il faut du pouvoir et de l'argent. Un monde oĂč l'on doit cultiver un esprit alerte pour percevoir les dangers qui peuvent nous conduire Ă  notre perte, une intelligence stratĂ©gique pour cumuler toujours plus de pouvoir et de richesse, entretenir de bonnes relations avec les personnes fortunĂ©es et puissantes ou celles qui peuvent nous aider Ă  gravir les Ă©chelons.

Photo Jad-limcaco - Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

Photo Jad-limcaco - Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau


Un monde hiĂ©rarchique dans lequel on doit ĂȘtre capable d'Ă©valuer les forces et les faiblesses des autres et acquĂ©rir la connaissance nĂ©cessaire pour prendre possession des ressources. Un monde oĂč l'on doit ĂȘtre sur nos gardes, toujours mĂ©fiants. Un monde oĂč l'on doit ĂȘtre le premier. Un jeu de compĂ©tition oĂč l'Ă©chec est mal vu.

Une grande tarte

Pour reprĂ©senter le monde de la mesure, les auteurs nous proposent d'imaginer une grande tarte. Si l'on prend une pointe, elle n'est plus disponible pour les autres. Le monde de la mesure est un monde de raretĂ©. Un monde oĂč on marche sur un champ de mines qui peut exploser Ă  tout moment.

Pour survivre dans un monde de mesure, il faut ĂȘtre en contrĂŽle avec un bon GPS et de bons indicateurs pour prĂ©voir et anticiper les dangers. Nous sommes Ă©duquĂ©s ainsi en comparant et en mesurant ce que les autres ont ou n'ont pas. Nous accordons de la valeur Ă  ceux qui ont le plus de richesse. Dans ce monde hiĂ©rarchique, plus nous sommes en haut de la pyramide, plus nous avons de la valeur. C'est un monde dans lequel mĂȘme les plus fortunĂ©s et les plus puissants sont angoissĂ©s, car il risque toujours de perdre leur place.

Mais on peut aussi dĂ©cider de marcher, Ă©crivent Rosamund et Benjamin Zander, dans l'univers des possibles oĂč tout est infini et abondant. Un monde oĂč l'on acquiert notre connaissance grĂące Ă  l'invention. Un monde qui engendre la vie, crĂ©e des idĂ©es nouvelles, participe consciemment Ă  une tarte qui, mĂȘme si on en prend un morceau, redevient entiĂšre, se renouvelant constamment.

Un monde de contribution

C'est un monde de contribution, de joie, de passion et de compassion. Un monde oĂč ce ne sont plus les personnes ou les objets qui sont importants, mais la qualitĂ© des relations entre les personnes et les objets. Un monde dynamique et vivant qui a dĂ©passĂ© l'instinct de survie pour une joie de vivre, de crĂ©er et de contribuer ensemble.

Selon Rosamund et Benjamin Zander, pour marcher dans l'univers des possibles, il faut d'abord percevoir les contours de ce monde de mesure dans lequel on s'enferme afin de pouvoir dessiner un nouveau cadre ouvert comme dans le jeu des neuf points.

Rosamund et Benjamin Zander illustrent cela par l'exercice des neuf points. Si vous le ne connaissez pas, vous pouvez essayer. La rÚgle du jeu : Vous devrez relier les points par quatre traits sans déposer votre crayon.

Schema 1 - Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

Schema 1 - Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

La plupart d'entre nous, formons un carré.

Schema 1 - Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

Schema 1 - Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

Pourtant, il y a une façon d'imaginer une ligne qui nous permet de sortir des limites du cadre et d'ouvrir sur un univers de possibles.

Schema 1 - Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

Schema 1 - Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

 Eh oui, c'est de lĂ  que vient l'expression : Penser Out of the box !



Troisiùme pratique — Attribuer des A

AprĂšs plus de 25 ans d'enseignement, Benjamin Zander constatait toujours le mĂȘme Ă©tat anxieux de ses Ă©lĂšves le jour de l'examen. MalgrĂ© ses tentatives pour les rassurer en leur disant qu'en appliquant ce qu'ils avaient appris et pratiquĂ© pendant l'annĂ©e, tout se passerait bien le jour de l'examen, rien n'y faisait. Et c'est bien connu, anxieux, on n'Ă©coute plus ses intuitions ni son cƓur, on joue donc moins bien ! Un musicien obsĂ©dĂ© par la compĂ©tition ne prendra pas les risques nĂ©cessaires qui transformeraient sa performance rĂ©guliĂšre en performance exceptionnelle.

Dessin PIerre GuitĂ© — Un monde de possibilitĂ©s par Sylvie Gendreau

Dessin PIerre GuitĂ© — Un monde de possibilitĂ©s par Sylvie Gendreau

Avec Rosamund, comme ils ont toujours l'habitude de le faire, ils ont rĂ©-examinĂ© le problĂšme en dessinant un cadre qui ouvrirait une nouvelle porte de possibles aux Ă©lĂšves. Qu'est-ce qui pourrait les libĂ©rer et leur permettre d'amĂ©liorer leur performance ? N'accorder aucune note (mĂȘme si le conservatoire acceptait la proposition) dans le monde de la mesure dans lequel ils Ă©voluent, dĂ©valoriserait probablement le cours Ă  leurs yeux. 

L'idée qu'ils ont eue ?

 Attribuer un A Ă  tous dĂšs la rentrĂ©e, moyennant une condition : ils doivent Ă©crire une lettre : 

Cher M. Zander, j'ai reçu mon A parce que... 

En Ă©crivant leur lettre, ils doivent s'imaginer Ă  la fin de l'annĂ©e, comme s'il constatait le chemin parcouru. Il est interdit d'utiliser des mots comme j'espĂšre, je souhaite, j'ai l'intention de... Les verbes doivent tous ĂȘtre au passĂ©. Et leur enseignant ajoute qu'il s'intĂ©resse particuliĂšrement Ă  leurs attitudes, les Ă©motions qu'ils ont ressenties et leur vision de la personne qu'ils sont devenues aprĂšs avoir accompli tout ce qu'il souhaitait accomplir. Il leur dit qu'il veut qu'il tombe passionnĂ©ment amoureux de cette personne !

Benjamin Zander partage quelques lettres trÚs touchantes de ses élÚves, montrant à quel point cet exercice est un levier pour avancer dans la bonne direction. L'autre élément qu'il suggÚre et que je trouve formidable, c'est concernant les erreurs. Il demande à ses élÚves lorsqu'ils commettent une erreur de lever leur bras et de dire : Comme c'est fascinant !

Au lieu de se sentir coupable d'avoir commis une erreur et d'essayer de la camoufler, on l'accueille au grand jour et on en tire dĂ©jĂ  une premiĂšre leçon.


Pour une performance extraordinaire !

Photo Pascal Bernardon Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

Photo Pascal Bernardon Un monde de possibilités par Sylvie Gendreau

Cette approche permet Ă  l'enseignant et Ă  l'Ă©lĂšve de faire Ă©quipe pour une performance extraordinaire et rapproche les Ă©lĂšves entre eux qui partagent leurs visions. Ils se focalisent sur les dĂ©fis Ă  relever et s'encouragent les uns les autres au lieu de nourrir un esprit fĂ©roce de compĂ©tition. Sans visions, nous sommes rĂ©gis par nos agendas et nous retombons dans un monde de mesure. On se juge soi-mĂȘme et on juge les autres avec un esprit calculateur.

Benjamin Zander prĂ©vient toutefois ses Ă©lĂšves du danger qu'il appelle â€č les seconds violons â€ș. Certains peuvent se dire que puissent qu'ils ont leur A, ils sont trop occupĂ©s pour assister Ă  tous les cours, ils ont autres choses Ă  faire de plus urgent ou de plus important et que, de toute façon, leur absence passera inaperçue.

Le vrai leader dans un quatuor, explique le chef d'orchestre, est le second violon. Sa partie contient le rythme interne et les harmonies qui solidifient et apportent la clartĂ© Ă  l'ensemble. Tous les joueurs participent simultanĂ©ment Ă  cette harmonie. Tout est une question d'invention. Chacun a un rĂŽle tout aussi important. Chaque musicien, dans un concert, a un rĂŽle primordial et il doit en ĂȘtre convaincu.

Vous avez probablement deviné en quoi consiste la troisiÚme pratique ?

Nous devrions tous nous attribuer des A et en attribuer à toutes les personnes qui nous entourent pour leur permettre de développer le plus pleinement possible leur potentiel.

elle â€č les seconds violons â€ș. Certains peuvent se dire que puissent qu'ils ont leur A, ils sont trop occupĂ©s pour assister Ă  tous les cours, ils ont autres choses Ă  faire de plus urgent ou de plus important et que, de toute façon, leur absence passera inaperçue.

Le vrai leader dans un quatuor, explique le chef d'orchestre, est le second violon. Sa partie contient le rythme interne et les harmonies qui solidifient et apportent la clartĂ© Ă  l'ensemble. Tous les joueurs participent simultanĂ©ment Ă  cette harmonie. Tout est une question d'invention. Chacun a un rĂŽle tout aussi important. Chaque musicien, dans un concert, a un rĂŽle primordial et il doit en ĂȘtre convaincu.

Vous avez probablement deviné en quoi consiste la troisiÚme pratique ?

Nous devrions tous nous attribuer des A et en attribuer à toutes les personnes qui nous entourent pour leur permettre de développer le plus pleinement possible leur potentiel.

VoilĂ , dĂ©jĂ  avec ça nous avons du pain sur la planche. Je poursuis dans ma prochaine chronique pour une annĂ©e de possibilitĂ©s ! Bien sĂ»r, vous avez compris que je vous ai dĂ©jĂ  tous attribuĂ© des A !

À la nec.school, nous avons un merveilleux programme pour entreprendre un travail sur soi, Ma vie telle que je l’imagine.

Envie de tenter l’expĂ©rience ?

DĂ©couvrez l’exercice No. 5

Révélez-vous !

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